Notre Histoire
« Issu d’un milieu dans lequel il fallait travailler tôt et dur, j’ai dû me débrouiller en exerçant un métier physique. Un grave accident professionnel dans ma vingt-cinquième année a été un signe du renouveau et j’ai fait de cette épreuve une force. Tout naturellement, plutôt que d’être abattu, je trouvais la force et la volonté d’avancer sans baisser « les bras ». Face aux problèmes rencontrés, il fallait trouver une solution, ne jamais s’acharner, réfléchir, réfléchir et … trouver une solution … car il fallait avancer. Chaque étape gagnée est une revanche sur la vie ou plutôt le bras que j’avais perdu. Droitier devenu gaucher par obligation, il fallait réapprendre chaque geste de la main gauche. Croyez-moi pour chaque geste de tous les jours, je devais réfléchir comment le faire sans être assisté, « faire les lacets, casser un œuf, visser, faire de la mécanique, de la plomberie, de l’électricité, des travaux de couverture, de la maçonnerie, de la tapisserie… ».
À cette époque, mes parents n’incitaient pas aux études car il fallait faire « bouillir la marmite » donc les études n’étaient pas pour leurs enfants contrairement aux générations suivantes.
Self-made-man
Cet accident m’a donné l’opportunité de reprendre des études de comptabilité et de droit du travail, puis de devenir comptable d’entreprise, comptable immobilier, technico-commercial dans le bâtiment avec l’aisance relationnel qui me définit. A ce niveau, je renseignais les copropriétaires sur la gestion de leur immeuble, la technicité des outils, les droits et obligations en matière immobilière. Le fait de les éclairer simplement sur des chiffres, la technique ou le conseil juridique, élément séparé qui leur paraissait tel un casse-tête, a fait naître une vocation en moi.
Devenir Syndic de Copropriété
J’ai à nouveau appris par moi-même pour me performer au-delà des chiffres, des appels de fonds et du côté technique que je maitrisais déjà. Je suis allé chercher l’information où elle était : j’ai épluché page par page le Code de la copropriété, le Code Civil, mis mes annotations, compris chaque nuance, chaque détail. Recommencer avec les Codes et livres de droit spécifiques. J’étais devenu syndic accompli, même si avec le temps, l’expérience m’a énormément enrichi. Le rapport humain était là, je rendais simple la difficulté et cela éclairait mes clients propriétaires, qui était attaché à ma personne en tant que véritable conseiller qui visait au plus juste pour eux.
Une envie de modernisation
Passionné, un réel passionné. Je voulais optimiser les rapports, rendre les outils plus modernes et performants, plus adaptés mais j’étais en total décalage avec la hiérarchie n’y voyant pas grand intérêt. Si je ne le faisais pas en tant que salarié, je le ferais en tant que chef d’entreprise car chacun a droit au mieux pour eux.
Mars 2011 : Créer SOGET’Imm : une localisation phare / un point clef de SAINT-QUENTIN
Avec une préparation de marathonien, un bagage marketing, et je l’avoue beaucoup de risques, j’ai établi mon business plan, j’ai trouvé le critère fondamental : LA LOCALISATION, LA LOCALISATION et LA LOCALISATION.
Idéalement située entre la Gare et la place du 8 Octobre amorçant la naissance du Centre-Ville, anciennement boutique de mariage, l’agence SOGET’Imm prenait lieu et place au carrefour d’un passage quotidien de +/- 12 000 véhicules et de centaines de piétons.
Création du service SYNDIC et GESTION-LOCATION
Nos services Syndic de copropriété et Gestion locative-location étaient créés, notre Team SOGET était née.
Notre volonté : le conseil et la modernité. Créer différemment en reprenant le cumul des désirs évoqués par les clients depuis mes débuts en immobilier. Voilà comment en mars 2011 je crée ma vision de fonctionnement. Cette projection a reçu le nom de Loi ALUR par le ministre de l’époque. J’avais créé en 2011, sans le savoir, la Loi ALUR qui est sortie en Mars 2014. Notre agence était la première sur SAINT-QUENTIN à utiliser l’état des lieux numérique sur tablette. Equipés de tablettes, nous étions déjà avant-gardistes, dans une envie de perpétuelle évolution.
La notoriété : une véritable stratégie
Au fil des années, l’équipe s’agrandit, les clients nous suivent ou nous découvrent, l’agence se pérennise. Mars 2020, le 1 er confinement sanitaire stricte. Qu’à cela ne tienne, tout comme pour la perte de mon bras, de chaque épreuve naît une force si l’on est déterminé.
Fin du confinement, Juin 2020 : Création du service TRANSACTION
Toujours dans cette optique d’être acteur d’accélération de la modernité, SOGET’Imm proposait les assemblées générales en visioconférence pour maintenir le contact et la communication, les votes à distance.
D’un point de vue commercial, SOGET’Imm était et reste garante de sa digitalisation sécurisée : visites virtuelles de bien (à distance ou en vidéo virtuelle accessible h24 sur notre site), photos 360° pour une réelle immersion, signature électronique certifiée des contrats et mandats.
Afin d’optimiser notre localisation idéale : réfection totale de la vitrine et de la façade, installation de 2 grands écrans dynamiques de 55 pouces (1.40m) permettant la projection en photos à défilement ou des vidéos des biens en portefeuille.
Objectif : zéro papier, tout digitalisé
La décoration intérieure de l’agence a été embellie pour mieux vous recevoir et se voit équipé d’un écran tactile connecté proposant notre parc immobilier.
Alliée à un partenaire génie du webmarketing, notre présence digitale détonne et notre site représente désormais notre attractivité point-fort du marché immobilier dans l’Aisne et alentours. »
Prochaine étape :
2021/2022 : Objectif numérisation, architecture 3D, réalité augmentée et digitalisation dans les immeubles.
Alain MARIACOURT – Président et créateur de SOGET’Imm